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27 sep 2019
Fin de l'EAIE 2019 : premiers retours d’expérience à chaud
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L’édition 2019 de l'EAIE,  salon international des institutions de l’enseignement supérieur et de la recherche, s’est achevée vendredi 27 septembre à Helsinki en Finlande. Trois membres d’Agreenium sur les cinq présents sur le stand commun livrent leurs premières impressions à chaud. Une opportunité pour rencontrer les institutions du monde entier, une importante présence des universités anglaises et l'omniprésence du déréglement climatique dans les débats.

Première expérience ?

Dounia Yelles, chargée des mobilités internationales, Bordeaux Sciences Agro: j'ai découvert une opportunité unique de rencontrer, sur un même lieu, de nombreux partenaires. J'ai pu présenter notre nouvelle offre de formation en anglais et cela est bien plus concret de vive voix. Les rencontres ont été très enrichissantes. Mettre un visage sur des partenaires avec lesquels je collabore depuis quelques années donne à nos échanges une dimension encore plus humaine et plus internationale.

Sarah DORNIER, chargée de mission - appui au développement des Masters Internationaux, AgroSup Dijon: nous sommes impressionnées par l’organisation. Pour nous, ce salon est une belle occasion de rencontrer les partenaires avec lesquels nous sommes en contact tout au long de l’année. C’est un peu « THE place to be » pour les relations internationales !

Cette édition en Finlande ?

Cécile Dubas, Directrice des Relations Internationales, Agrocampus Ouest: j'ai noté que de nombreuses universités anglaises étaient présentes, plus que les années précédentes. Il me semble qu'elles sont plus ouvertes à de nouveaux partenariats, compte tenu de la situation politique relative au Brexit. Enfin, le reste du monde est toujours très bien représenté (Amérique du Sud et Asie notamment), ce qui permet de voir au-delà de l'Europe. Une grande majorité de mes rendez-vous concernaient ainsi des universités hors-Europe et c'est une vraie plus-value. 

Rencontre enrichissantes ? Nouvelles pistes ? Démarches en cours ?

Sarah DORNIER, chargée de mission - appui au développement des Masters Internationaux, AgroSup Dijon: en tout, nous avons rencontré 20 universités, partenaires actuels ou prospects. Cela nous a permis de nous faire connaître, mais aussi de diffuser de façon plus globale notre offre de formation. Nous avons bon espoir que cela se traduise par le renouvellement et la signature de nouveaux accords.

Cécile Dubas, Directrice des Relations Internationales, Agrocampus Ouest: Montpellier SupAgro et Agrocampus Ouest ont organisé un certain nombre de rendez-vous ensemble afin d'informer nos partenaires sur le regroupement en cours et promouvoir l'ensemble de nos activités complémentaires. A première vue, cette nouvelle est bien accueillie par les partenaires. Nous avons organisé une réception IROICA sur le stand Agreenium, qui nous a permis de multiplier les contacts via ce réseau européen très actif.

Tendances ?

Cécile Dubas, Directrice des Relations Internationales, Agrocampus Ouest: la session d'ouverture animée par Simon Anholt a été remarquable et saluée par les membres d'EAIE. Son message positif tranche avec le pessimisme ambiant. J'ai retenu qu'il serait difficile de renverser la tendance mais pas impossible, grâce notamment aux nouvelles générations. Gageons que le ashtag #goodgeneration rencontrera des adeptes après cette conférence. Une génération qui affronte le problème du dérèglement climatique au lieu de l'ignorer. De plus, les conférences traitant du développement durable ou de l'internationalisation verte 'green internationalisation" sont de plus en plus nombreuses. Les universités doivent repenser la mobilité des étudiants, enseignants et personnels pour privilégier de plus en plus l'apprentissage à distance et la mobilité virtuelle.

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