Soumis par Anonyme (non vérifié) le mer, 26/06/2019 - 14:07
Porté par les industries agroalimentaires, le système alimentaire dominant actuellement n’est pas durable. Les études et les expertises se multiplient pour en montrer les limites en termes d’usage des ressources, de distanciation, de santé, d’équité, d’emploi etc… Face à ces constats, des acteurs publics ou privés se mobilisent et l’on voit émerger des initiatives où les « gouvernements urbains » apparaissent comme de plus en plus actifs et puissants.
Soumis par Anonyme (non vérifié) le mar, 25/06/2019 - 14:20
La filière manioc joue un rôle essentiel dans la sécurité alimentaire et l’économie des pays du Sud, surtout en milieu rural et de plus en plus en milieu urbain. Cette production en forte croissance concerne plus d’un demi-milliard d’agriculteurs – souvent parmi les plus pauvres – dans toutes les régions intertropicales.
Soumis par Anonyme (non vérifié) le mar, 25/06/2019 - 13:46
Le cordon dunaire forme, avec l’estran et l’avant-plage, un système sédimentaire complexe en perpétuelle évolution. La préservation et l’entretien de ces milieux naturels présentent une grande importance, notamment pour protéger les territoires littoraux vis-à-vis de l’érosion côtière et de la submersion marine.
Soumis par Anonyme (non vérifié) le mar, 25/06/2019 - 13:39
En droit, le sol n’est pas appréhendé dans son entièreté, comme un ensemble complexe aux fonctions diverses. Dès lors, sa protection demeure lacunaire.
A défaut de protection des sols, objets de propriété, la préservation des services écosystémiques, utilité commune du bien, pourrait-elle être prescrite, valorisée, et selon quelles modalités ?
Soumis par Anonyme (non vérifié) le mar, 25/06/2019 - 12:03
L’innovation est souvent présentée comme l’un des principaux leviers pour promouvoir un développement plus durable et plus inclusif. Dans les domaines de l’agriculture et de l’alimentation, l’innovation est marquée par des spécificités liées à sa relation à la nature, mais aussi à la grande diversité d’acteurs concernés, depuis les agriculteurs jusqu’aux consommateurs, en passant par les services de recherche et de développement.
Soumis par Anonyme (non vérifié) le mar, 25/06/2019 - 11:57
La conscience est définie chez l’homme comme l’expérience subjective de son environnement, de son propre corps et/ou de ses propres connaissances. Postulée dans le passé, tant par des philosophes que par des scientifiques, l’existence d’une forme de conscience chez les animaux a été confortée par les récents apports des neurosciences, des sciences cognitives et de l’éthologie.
Soumis par Anonyme (non vérifié) le mar, 25/06/2019 - 11:53
Les services écosystémiques (SE) peuvent se définir comme les composantes des écosystèmes dont l’homme retire des avantages : pollinisation des cultures, régulation du climat, etc.
Soumis par Anonyme (non vérifié) le mar, 25/06/2019 - 11:44
La perte de terres agricoles liées à l’urbanisation constitue l’une des facettes de la consommation des terres. Commencé dans les années 1970, ce phénomène – essentiellement dû à l’étalement urbain –prend des proportions jusque-là inégalées. Les conséquences de ces processus d’artificialisation sont multiples et portent à la fois sur la production et sur la sécurité alimentaire ainsi que sur la perte de biodiversité. Ces processus interrogent aussi les formes de solidarité territoriale entre les villes et les espaces péri-urbains et ruraux.
Soumis par Anonyme (non vérifié) le mar, 25/06/2019 - 09:57
Ancré dans la tradition française, le temps du repas est un moment de plaisir et de convivialité. Pour garantir aux consommateurs une offre diversifiée de produits de qualité, dont le niveau de performance sanitaire, environnementale et sociale est envié à l’étranger, le gouvernement français œuvre au quotidien pour une politique publique de l’alimentation. Celle-ci est basée sur une approche d’évaluation des risques, mais également sur une approche sociétale et sociologique des sujets abordés.